"Paris Région, source of inspiration"

L'énergie des piétons pour fabriquer de l'électricité

Voici l'idée lumineuse de Laurent Villerouge, directeur de la start-up toulousaine Viha Concept, à l'origine du « trottoir podo-électrique ».

Le principe est simple : accumuler l'énergie cinétique des piétons ou des véhicules, grâce à des dalles montées sur ressorts et disposées dans des endroits où il y a du passage. Sous chacune d’elle, un mini-générateur transforme l’impact en courant électrique stocké dans une batterie reliée à des réverbères à LED, par exemple. La nuit, la rue s’illumine dès que le trottoir est foulé par un piéton.

« Avec 10 000 passages dans la journée, on assure 3 heures d’éclairage gratuit », a calculé Laurent Villerouge. Chaque piéton produisant 4 à 6 watts par pas, selon sa vitesse et son poids, ce système pourrait massivement réduire la facture de l’éclairage urbain, qui, en France, équivaut à la production d’un réacteur nucléaire.

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Du point de vue du logement public ou particulier, de nombreuses améliorations ont été apportées. Les isolations ont été renforcées et nous avons un comportement ô combien plus responsable et respectueux de l’environnement. Notre capitale a su préserver son patrimoine historique tout en optimisant l’espace via une réorganisation des rues et des voies de circulation routière. Aujourd’hui, les voitures de l’époque sont considérées comme des voitures de collection, l’électricité a amplement remplacé le carburant. De ce fait, une étude datant de 2023 a démontré une diminution fulgurante de la pollution sonore et environnementale. Les sources d’énergie ont été démultipliées, si aujourd’hui il nous parait normal d’utiliser les ressources fluviales telles que la Seine, les énergies naturelles telles que le Soleil et la pluie et les énergies “humaines” grâce aux capteurs de mouvements, nous devons réaliser à quel point cela a ouvert le champ des possibilités. Notre meilleure utilisation de l’environnement nous a permis de grandes économies financières, nous a fait prendre conscience de l’importance de prendre soin de l’environnement. Les mentalités ont beaucoup évoluées, ce qui nous permet de vivre plus sainement.

Les Réseaux sociaux d’entreprises (RSE) prennent une part importante dans l’organisation de l’entreprise, ils permettent une meilleure collaboration et productivité et renforce le lien social et la cohésion entre salariés. Plus de questions épineuses sur la vie privée, aujourd’hui, le salarié se sent en totale confiance sur les données qui peuvent se trouver sur le Réseau Social d’Entreprise et il n’hésite plus à l’utiliser dans son quotidien.

Le co-working ne cesse de se développer. Cette organisation de travail en groupe qui permet de se créer un réseau et de favoriser l’échange et l’ouverture est présente dans les grandes villes françaises mais surtout à Paris et ses proches banlieues. On mise désormais sur le travail collaboratif car ensemble nous travaillons mieux et nous revenons à l’essentiel : la convivialité dans le travail. La convivialité est désormais de rigueur. Ces espaces permettent des rencontres en dehors de l’entreprise et facilitent les échanges et les avis de chacun. Le digital est omniprésent, Paris est devenue une ville 100% connectée. Des applications sont crées afin de faciliter les rencontres entre collaborateurs, professionnels et partenaires (par exemple, géolocaliser ses collègues dans l’entreprise). De nombreuses applications proposent notamment aux employés de faire part de leur (in)satisfaction en temps réel. Enfin, grâce au crowdsourcing, les salariés partagent leurs connaissances en ligne. 

De nouveaux métiers voient le jour : Story Architect, Data Scientist, Urban shepherd…

Le process de recrutement a changé : plus besoin de CV, nous avons tous les renseignements grâce au Big Data. Les entretiens sont parfois menés en visio-conférence, une manière de s’adapter à la mobilité toujours plus grande (jeunes diplômés expatriés à l’étranger, mobilité en France…).Les salariés doivent changer de poste très régulièrement pour plus de flexibilité dans l’entreprise. Enfin, le participatif a également son rôle à jouer : interagir avec ses collègues, proposer des idées, monter des projets et aussi repérer les talents cachés.

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Nous sommes en 2025, le rôle de l’école a été repensé. Il ne s’agit d’inculquer des connaissances en priorité mais des compétences. Les perspectives en terme de e-learning ouvre de nouvelles possibilités et amènent des méthodes qui avaient été encore peu explorées. Il s’agit de créer l’envie de savoir, pour cela, il faut les pousser à exporter leurs connaissances et leurs compétences dans un environnement qu’ils connaissent et qui les intéresse.

• E-learning

L’école se dématérialise en partie. Il n’est cependant pas question d’une scolarité du tout numérique. L’idée qui a été développée pour la ville de Paris est plutôt de tirer partie du meilleur de l’enseignement traditionnel et de l’enseignement numérique pour aboutir sur un modèle hybride dont la finalité serait une qualité optimale et une expérience améliorée pour l’élève et pour le professeur.

Les élèves sont équipés d’une tablette numérique qu’ils peuvent amener chez eux. Suivant les principes du collaboratif, ces tablettes sont prêtées à l’année. Elles permettent notamment à l’élève de suivre les progrès réalisés et d’adapter les contenus à ses besoins et à son niveau.

• Education inversée

Les cours en ligne ont permis d’inverser sensiblement l’expérience traditionnelle en inversant les tempos. Le temps de l’élève passif qui se contente d’écouter le professeur est révolu. Les temps de classe sont réservés à la pratique (auparavant exécutée par les élèves chez eux au moment des devoirs). Les temps scolaires sont donc devenus des temps d’interactivité et d’action.

• Flexibilité → rythme de travail de l’élève, dans le lieu

Aujourd’hui grâce aux nouvelles techniques d’enseignement, l’élève peut aller à son rythme grâce aux exercices dispensés directement sur tablettes. Lorsqu’il se trompe il n’est plus jugé par toute la classe mais simplement corrigée de façon discrète et constructive par le logiciel. L’erreur est dédramatisée. Les leçons sont aussi personnalisées en fonction du niveau de l’élève et de son évolution. Cela a permis d’améliorer sensiblement les résultats pour tous les élèves. De même les temps d’enseignement sont décloisonnés et l’élève peut continuer sa leçon chez lui au moment où il le souhaite grâce aux supports numériques.

Dans l’enseignement supérieur, les cours sont accessibles pour les étudiants au moment où ils le souhaitent. Pour autant des séances d’échange et de travail de groupe sont mises en place pour assurer la socialisation et le partage d’idée nécessaires au évolutions de la société.

• Ludification

Les jeux vidéos sont clairement un moteur d’engagement et d’investissement chez l’enfant. C’est pourquoi leur modèle a été adapté à l’éducation en 2025. L'apprentissage se fait à travers un scénario et la collaboration de tous pour arriver à un but, achever une quête. C’est un moyen qui a été mis en place notamment pour développer les compétences à même titre que les connaissances. Les capacités à résoudre des problèmes, à communiquer, à collaborer, à négocier, sont très sollicitées. Les réussites sont constamment valorisées par les systèmes de points et de récompense.

Manger moins et mieux : les consommateurs se tournent de plus en plus vers une consommation locale, bio car c’est tout un ensemble d’aliments qui présentent d’importants avantages pour la santé. Prenons l’exemple des yaourts anticholestérol qui connaissent un vrai succès. Les Français seront de plus en plus liés aux problématiques telles que l’obésité, le diabète. 

Vers une amélioration du bien-être global : l'aspect santé est incontournable de nos jours. 

Vers une individualisation : la consommation s’effectue de manière individuelle et aussi vite que possible. Les rituels alimentaires sotn en train de se perdre: préparation du repas, socialité. 

Le developpement des proteines végétales

Peur, crainte des consommateurs quant à la production de la viande jugée trop risquée, polluante. 

Vers un «retour à la terre» : le fait-maison et le retour à la filière courte pourra se développer dans les années à venir.

Toujours plus d’hygiène alimentaire et de tracacabilité.